17 novembre 2012
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Il parait que le ciel est "si bas qu'un canard s'est perdu".
Nous guettons d'un oeil attentif les éclaircies. Nous devons rencontrer quelqu'un de très spécial...
J'aimerais bien lui cueillir des fleurs....un beau bouquet de saison. Mais les chrysanthèmes couleurs feux sont, à proprement parler, inaccessibles.
Derrière les vitrines, il n'y a pas de côtelette...
Notre amie Balladine link doit apparaître d'un moment à l'autre, par la porte rouge de la gare SNCF.
La Petite Ceinture, retirée de la vie active il y a un trentaine d'années, a été ensevelie, là, sous un sentier de nature, ici, sous le bitume d'un parking. La ligne C du RER circule sur des voies toutes tracées par "l'ancêtre", et "La Gare Henri Martin" remplit ainsi toujours ses fonctions.
couplées à des services annexes.
Les buffets de gare qui ont de nos jours plutôt triste réputation reprennent parfois leur "lustre" originel.
Lustres, nappes blanches, caves sélectionnées avec soin, décors tamisés...L'heure est à la pause café. Les hôtes ont bien voulu m'acceillir parmi les convives. Ma maîtresse et son amie s'attablent tandis qu'entre les deux, je prends place
Une nappe toute blanche, et rien dessus....
Le menu...en express, s'il vous plaît JE suis pressé...
Pas comestible !
La conversation bat son plein : pas de côtelette, mais du chocolat (un poison pour les chiens). Malgré les papouilles et une nuée d'admirateurs subjugués par ma voix de ténor, rien ne parviendra pas à modérer mon courroux
Je flaire que des trains circulaient en-dessous autrefois...alors, on roule !